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a lire et pourquoi pas, à signer.
Je suis profondément favorable à l'europe, mais il y a une chose qui m'indispose, c'est la quasi interdiction que certains voudraient imposer de ne pas pouvoir changer de politique. Ecoutons bien, ce que nous dit sarko:"la parole de la france ne peut être remise en cause." Autrement dit, il décide aujourd'hui et celui qui sera là demain doit assumer les aneries. En occident, même si nous n'etions pas tous anticommunistes primaires,ce que certains d'entre nous ont reproché à l'union soviétique, c'est l'interdiction faite de changer quoi que ce soit au système. Aujourd'hui, l'europe voudrait imposer la même chose. non, non,non. Si demain le peuple français veut décider d'une autre orientation, il doit en avoir le droit et la possibilité. Cela ne veut pas dire que je serai automatiquement d'accord, mais je veux le choix. C'est pour cette raison que j'ai signé ce texte ci dessous qui contient pourtant des choses avec lesquelles je suis en désaccord. Par exemple l'idée que sarko et hollande c'est du pareil au même, où que l'évolution actuelle est intrinsèquement liée à l'idée de base où alors en appeler à Mendès France pour en faire un antieuropéen. Lisez donc ce texte et rejoignez le combat pour le choix.Ce qui ne sous entend pas que j'adhère au soutien à jean luc mélenchon.
Appel aux citoyens et à leurs élus pour s’opposer au « coup d’État » du 21 février 2012 !(1) Ajout proposé à l’article 136, paragraphe 1, du TFUE : « Les États membres dont la monnaie est l’euro peuvent établir un mécanisme de stabilité pouvant, si nécessaire, être activé dans le but de préserver la stabilité de la zone euro dans son ensemble. L’octroi de toute aide financière en vertu du mécanisme sera soumis à de strictes conditionnalités.»
Pour en savoir plus.
(2 ) “L’abdication d’une démocratie peut prendre deux formes, soit le recours à une dictature interne par la remise de tous les pouvoirs à un homme providentiel, soit la délégation de ces pouvoirs à une autorité extérieure, laquelle, au nom de la technique, exercera en réalité la puissance politique, car au nom d’une saine économie on en vient aisément à dicter une politique monétaire, budgétaire, sociale, finalement « une politique », au sens le plus large du mot, nationale et internationale.”
(3) « Tous les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs Représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.»
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